Besoin d’aide ? Contactez-nous par email ou appelez-nous gratuitement au 06 24 10 58 27.

Rechercher sur le site

Renseignez un ou plusieurs mots-clés

Ex : accident de la route, accident trajet travail, erreur médicale…

L’indemnisation de l’accident de la route, comprend des mécanismes parfois complexes. L’indemnisation permet la réparation intégrale des préjudices dans le cadre de la loi Badinter.

Certaines victimes pensent que l’indemnisation de l’accident de la route nécessite l’intervention d’un avocat spécialisé. Que cela va résoudre tous les problèmes afin de percevoir la meilleure indemnisation possible.

Cette assertion n’est pas sans fondement. Mais elle requiert des éclaircissements sur le rôle de l’avocat dans l’indemnisation de l’accident de la route. il faut une bonne connaissance du fonctionnement de l’indemnisation ainsi que des démarches à effectuer. Un savoir sur la procédure et son déroulement avant de faire appel à un avocat. Et éventuellement tout autre professionnel du domaine.

Points à retenir en cas d’accident de la route.

Toute personne victime d’un accident de la route a droit à une indemnisation. Sauf dans le cas d’un conducteur à qui on pourrait opposer une faute.

A dater du jour de l’accident, l’assureur en charge du mandat a un délai de 8 mois pour procéder à l’indemnisation définitive. Ceci est valable dans le cas où l’état de la personne victime de l’accident de la route est consolidé. Si la personne n’est pas consolidée, l’assureur doit alors verser une provision. Celle-ci doit être suffisante dans l’attente de la consolidation.

Cette indemnisation est bien évidemment singulière, elle est directement en lien avec la réalité du préjudice subi. Elle n’est comparable à aucune autre. Elle doit prendre en compte la situation de la victime dans sa vie au quotidien.

En fonction des situations, il sera nécessaire ou non d’être assisté d’un professionnel. Que ce professionnel soit un avocat ou un expert d’assuré. L’avocat spécialisé accident de la route peut intervenir à tout moment de la procédure. Ceci varie selon la gravité de l’accident de la route et des séquelles subies. En cas de séquelles importantes, il sera approprié d’être assisté dés le début de la procédure. Et souvent il faudra à la fois un avocat et un médecin expert de victimes.

Si les séquelles sont mineures, l’avocat accident de la route n’est pas indispensable tout de suite. Tout dépend de l’évolution de la situation.

L’assureur a un certain nombre d’obligations et doit respecter des délais pour faire une offre d’indemnisation et/ou d’indemnités provisionnelles. Ces obligations sont prévues par la Loi Badinter qui s’applique en cas d’accident de la circulation.

C’est pourquoi, il est important d’être bien informé avant d’envisager l’assistance d’un professionnel et l’AFAV est présente à vos côtés afin de vous guider utilement dans cette démarche.

Conseils de l’AFAV.

Ainsi, comme vous le voyez, être correctement informé est un atout majeur si vous souhaitez être correctement indemnisé.

Il convient de prendre le temps nécessaire pour posséder la culture du domaine, comprendre le processus qui conduit à l’indemnisation du préjudice avant de faire le choix d’un avocat, d’un médecin conseil ou de tout autre professionnel. Ceci vous permettra de savoir pour quelle mission précise l’avocat intervient, ce que vous attendez de lui et en quoi il vous sera utile.

Montant d’indemnisation suite à un staphylocoque doré

Le montant d’indemnisation du staphylocoque doré dépend des séquelles de la victime, du retentissement sur sa vie quotidienne et professionnelle. Qu’est-ce que le staphylocoque doré ? Le staphylocoque doré, ou staphylococcus aureus, est une bactérie couramment présente sur la peau et les muqueuses. Bien que souvent inoffensive, elle peut devenir pathogène, provoquant des infections cutanées, […]

Indemnisation d’une affection iatrogène

L’indemnisation d’une affection iatrogène est possible grâce à la loi Kouchner de 2002. La loi Kouchner, adoptée en 2002, renforce les droits des patients en matière d’indemnisation. Elle introduit la possibilité d’indemniser les victimes d’affections iatrogènes, même en l’absence de faute médicale. Cette loi crée les Commissions de Conciliation et d’Indemnisation (CCI). Ces commissions permettent […]