Définition
La définition d’accident de la vie est très large, elle englobe de nombreux cas de figure. Il faut donc comprendre qu’on parle d’accident de la vie en opposition aux accidents de la route ou aux accidents de travail.
Parmi les accidents de la vie, on distingue :
- Les agressions.
- Les accidents domestiques (chutes, brûlures, morsures, intoxications…), survenus au domicile ou aux alentours du domicile.
- Ceux qui surviennent à l’extérieur (trottoir, supermarché…).
- Les accidents scolaires (à l’école, pendant une sortie, etc).
- Les accidents de sport, de loisir et de vacances.
- Ceux qui surviennent dans les transports autres que les véhicules terrestres à moteur (train, etc).
Ces accidents font plus de victimes que les accidents de la route, en particulier chez les enfants et les personnages âgées. Ainsi, les chutes sont fréquentes. Elles occasionnent de nombreuses fractures, et notamment des traumatismes crâniens.
La prévention est bien évidemment un élément clef pour se protéger. Ces accidents demeurent fréquents et potentiellement mortels. Dans tous les cas, ils font beaucoup de victimes. Environ 20.000 personnes décèdent chaque année d’un accident de la vie.
Indemnisation d’un accident de la vie
Compte tenu de la diversité de ces accidents, l’indemnisation des préjudices corporels des victimes diffère selon le type d’accident. L’indemnisation est aussi fonction de la présence ou non d’un tiers responsable.
Si vous avez été victime d’une agression , consultez la page « Agression ».
Quelques exemples d’accidents de la vie où la victime peut être indemnisée par l’assurance du responsable :
- Blessures dans un magasin : en effet, les vendeurs professionnels ont l’obligation de prendre les précautions nécessaires pour assurer la protection physique des consommateurs. Dans ce cas, c’est l’assurance du vendeur qui indemnise la victime.
- Morsures par un animal appartenant à un tiers : le propriétaire d’un animal (chien, etc) est responsable des blessures causées par celui-ci. Ceci est vrai, quelles que soient les circonstances. Même si le propriétaire n’a pas commis de faute, il est tenu d’indemniser les préjudices corporels engendrés par son animal.
Si vous avez une garantie accident de la vie, pensez à consulter la page « Les garanties accident de la vie ».